Les spéciales de l’Endur’Aude 2009

La deuxième étape du Trophée régional Languedoc Roussillon aura lieu le week end prochain (5 juillet) à Citou. Voici les détails du parcous…

liaison 1: 5200m pour 280 de positif / sp1 : 4200m pour 500 de négatif.

liaison 2: 6300m pour 290 de positif / sp2 : 2200m pour 270 de négatif.

liaison 3: 5500m pour 360 de positif / sp3 : 2200m pour 300 de négatif.

liaison 4 :3100m pour 170 de positif / sp4 : 1600m pour 200 de négatif.

En détail :

Liaison 1 : excellent échauffement, des pistes de moins en moins roulantes, puis le dénivelé s’accentue, profitez des superbes paysages, avant d’emprunter le single bien dur.

SP1 : la plus longue, terre souple en sous-bois, très sinueux, avec quelques cassures de pente, puis toujours du (très sinueux) avec quelques pierres, puis un énorme speed, presque tout droit (attention de pas pincer !), et une bonne courbe dans laquelle il ne faut se sortir avant le pont après lequel il faut pédaler avant d’arriver dans un ruisseau.

Liaison 2 : du bitume sur une route étroite (celle que vous aurez pris le matin en voiture) puis une piste (facile et sympa !).

SP2 : pouaff… de la balle !!! Superbe single naturel ! Des virolos a fond les ballons (parfois très serrés, attention !). Et attention aussi à la pente parfois très…pentue. Presque pas de pédalage, mais des épingles techniques… du pur pilotage enduro.

Liaison 3 : ouarff… c’est dur ! Longue ascension sur une piste qui monte… qui monte… puis se radouci en arrivant sur la traverse.

SP3 : pouaff… de la balle (bis) !!! Encore une spéciale qui envoie : du rapide sur le début, des virages avec de beaux appuis, des épingles bien serrées sur le milieu, et un revêtement abrasif et tranchant à souhait… hummm. Et pour finir, un panorama et un sentier somptueux (pour ceux qui auront le temps de le regarder).

Liaison 4 : plus courte que les autres (c’est normal, c’est la fin), difficile dans les premiers mètres de l’ascension, la pente devient plus douce et plus agréable ensuite.

SP4 : le plus dur pour la fin. Des « coups de culs » en cascade sur la première partie de la spéciale, avec même un très court portage (sauf pour les meilleurs des meilleurs), donc une bonne dose de physique, et une fin de spéciale dans une ultime descente agréable avec tout ce qu’il faut pour se régaler en enduro.

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