Des comparatifs et des dossiers, il y en a un paquet pour choisir son casque VTT. Autant que de modèles, ou presque ! Suffisamment, en tout cas, pour être vigilants au moment d’en monter un énième ! Raison pour laquelle ce dossier FullAttack se concentre sur les infos indispensables pour aller au delà des habituels guides d’achat et fiches produits : livrer le ressenti terrain, positionner vis-à-vis de la concurrence, et conseiller en fonction de la pratique de chacun. Pour ça, c’est la gamme Fox qui sert de fil rouge, et on vous dit aussi pourquoi…

Le b. a.-ba
À première vue, choisir son casque VTT n’a rien de sorcier. Tant qu’on ne sait pas qu’en fait, l’offre est large, et qu’il va falloir s’y retrouver. Pour être admis sur le marché, tous respectent des normes de sécurité qu’on a déjà eu l’occasion de détailler. Ces règles permettent néanmoins la production de différents types de casques, du plus imposant au plus léger : intégral, intégral light, semi et jet se partagent le gâteau…
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On utilise le terme de casque intégral pour désigner un casque qui protège intégralement la tête : le crâne, les oreilles, la nuque et la mâchoire… Son poids dépasse généralement les 900g. Il mise tout sur la sécurité et le confort, la ventilation est plus limitée. Un intégral light couvre de la même manière qu’un intégral et respecte les mêmes normes. Il est simplement plus proche du seuil de protection. Il profite de cette marge pour être plus aéré – mentonnière, dessus du crâne – et léger (entre 600 et 850g env.) Le semi se passe principalement de la mentonnière pour ne couvrir que la nuque, le crâne et les oreilles. La ventilation et le poids – sous les 800g – s’en trouvent une nouvelle fois favorisés au détriment d’une part de sécurité. Le jet enfin, est la version minimaliste du casque VTT – qui réduit le poids autour des 400g à peine. Ceux dont on parle ici font l’effort de couvrir l’arrière du crâne, et être compatibles avec l’usage/le transport d’un masque…
À vélo, le casque est quelque chose de très personnel. Complétant et/ou recouvrant le visage, ses formes participent à l’identité du pilote. On le devine donc, il y a des modes et tendances. Notamment en matière de pratique, telles qu’on les définit chez FullAttack. Les intégraux sont légion et obligatoires en compétition de Descente et d’Enduro. Les jets sont plus largement répandus en Rando, Trail, All Mountain, Randuro et Vélo de Montagne. Les choix sont plus variés en Randuro, à l’entrainement, en navette, station et bike park même si globalement on tend davantage vers l’intégral (light) ou le semi…

Choisir son casque VTT ?!
Dans tous les cas, on se focalise ici sur ceux qui permettent de pédaler – et de manière confortable – parce que c’est là que la question se pose : lequel choisir ?! Autant, il n’y a pas à tergiverser quand ça ne fait que descendre – l’intégral ou le light s’imposent, safety first – autant, il y a de quoi hésiter quand il va falloir passer du temps en selle et respirer ! Light, semi, jet ? Comment choisir son casque VTT ?!
Il faut, bien entendu, adapter son niveau de protection à celui du risque encouru. Un intégral pour une petite balade bucolique est tout aussi abusif qu’un jet est léger pour jouer le KOM sur une piste de Coupe du monde ! Pour autant, ne se fier qu’aux injonctions et aux phénomènes de mode peut tout autant générer l’inconfort – quel qu’il soit – qui fait la différence et sauve lorsqu’il s’agit de composer avec ses propres limites.
Le principal conseil que l’on donne rejoint donc les propos de Rachel Atherton – parmi les plus grandes championnes de l’histoire de notre sport. Pour elle comme pour nous, il faut…
rouler avec […] confiance et application. La peur et l’hésitation rendent les choses plus dangereuses.
Le bon casque est donc celui qui procurent le sentiment de sécurité et l’aisance qui participent à la confiance et l’application du pilote. Qui fait qu’on se sent protégé et en sécurité, sans que les mouvements et le niveau d’alerte soient entravés. Ce qui peut expliquer qu’au sein d’une même groupe, parfois, certains ne fassent pas les mêmes choix parmi les possibilités détaillées à la suite de cet article. Le risque zéro n’existe pas, chacun doit donc composer avec, c’est la base de toute bonne sortie…
Pourquoi Fox ?
Ce dossier est né de la convergence entre deux idées. On travaillait depuis un certain temps sur un comparatif d’intégraux lights, sans réellement aboutir. Un peu étroit, un peu lourd. Jusqu’à ce que la marque Fox soit force de proposition au sujet de sa gamme complète de casques. L’occasion de voir plus large, à condition que la gamme soit pertinente. D’une part, la marque fait partie des leaders du marché. Tant commercialement, qu’en matière de sécurité : au moment d’écrire ces lignes, le Fox DropFrame est en tête du classement Virginia Tech, et le Fox Speedframe dans le top 10 ! Une bonne raison d’en faire le fil rouge de ce comparatif, même si l’offre du renard n’est pas parfaite. Qu’importe puisqu’on ne se prive de toute façon pas d’une des bases de nos essais : le placement vis-à-vis de la concurrence. Ça permet de voir en creux, les forces et les progrès nécessaires à chacun. Et au final, dresser un panel d’incontournables du moment ! Voici donc les Fox Proframe, Dropframe et Speedframe, et leurs places sur le marché quand il s’agit de choisir son casque VTT !

Intégral light ?!
Sur le marché, choisir son casque VTT permet d’aboutir à l’achat d’un intégral light depuis peu finalement. Ces casques doivent leur essors à celui de l’Enduro où l’usage d’une mentonnière est devenu obligatoire en compétition. À force de voir les pilotes retirer les mousses intérieures pour mieux respirer en liaisons, certaines marques ont fini par se pencher sur des solutions plus à propos.
Raison pour laquelle on note la mentonnière très évidée lorsqu’on enfile un intégral light. Elle permet de laisser passer l’air jusqu’à la bouche et au visage. Dans l’autre sens, ça refoule aussi moins la respiration que les plus gros modèles intégraux spécifiques à la Descente. Des efforts de ventilation que l’on retrouve ailleurs, chaque modèle du marché ayant ses spécificités. Et c’est à ça qu’on peut les reconnaitre les yeux fermés et qu’il est intéressant de choisir le sien.
Dans tous les cas, les meilleurs font usage de mousses intérieures aux revêments anti-bactériens dont le toucher participe au confort. Ils savent tenir sur la tête sans serrage occipital gênant pour enfiler/retirer le casque et ce, malgré la présence du Mips devenu monnaie courante. Leurs boucles de maintien font usage d’un clip ou d’un aimant plutôt qu’une double boucle moto toujours plus compliquée à manipuler.
Mentonnière amovible ?!
Impossible de parler de casque intégral light sans parler de la concurrence directe, les casques à mentonnière amovible. C’est d’ailleurs l’absent de la gamme Fox qui fait office de fil rouge ici. On ne va pas revenir sur l’intérêt/défaut de ce format déjà abordé dans nos précédentes parutions, mais plutôt partager un constat clé à l’épreuve du terrain : pour l’heure, les casques à mentonnières amovibles sont systématiquement moins ventilés que les intégraux light cités ici. La raison est simple : pour rester « jolis » sans mentonnière tout en embarquant le système de fixation, ils doivent respecter un volume plus contenu autour de la tête. Ça réduit inexorablement l’espace entre la coque et le crâne où l’air peut circuler.
Le Fox Proframe
Historiquement, le Fox Proframe a fait partie des premiers Intégraux lights à apparaitre sur le marché. Et aujourd’hui encore, il fait partie des leader du segment, une valeur sûre. Il est reconnaissable entre tous avec sa mentonnière qui fait partie des plus ajourées. Logiquement, c’est donc celui qui refoule le moins la respiration, même si la mentonnière se positionne assez haute et assez loin devant la bouche. Les pads se font clairement sentir dans le creux des joues, contrastant avec la ventilation du museau. Ils participent à la chaleur à cet endroit, mais aussi à une forte impression globale de maintien/sécurité. On sent aussi très clairement la ventilation au niveau du front, où l’air circule très bien entre les mousses, le Mips et la coque. Le flux se poursuit assez bien jusque sur le dessus du crâne, mais ne va pas plus loin. Entre les mousses de la mentonnière, la forme intérieure et la coque légère, le maintien est tout à fait dans la bonne tendance.
La concurrence
100% Trajecta
Visuellement, il donne l’impression que le Fox Proframe est plus ajouré. Pourtant, il laisse une impression de ventilation « Inverse » au Proframe : moins marquée sur le front et le dessus, mais davantage sur l’arrière du crâne. Les mousses plus en retrait démontrent que celles du Fox sont très déportées sur l’avant et laissent moins passer l’air au dessus des oreilles et jusque derrière le crâne.
Troy Lee Design Stage
C’est l’intégral light qui a la compacité d’un casque à mentonnière amovible. Il partage aussi le positionnement de la mentonnière plus bas sous la mâchoire, qui rappelle ici aussi que celle du Fox Proframe est assez haute. Par contre, sa ventilation du front n’atteint clairement pas celle du Fox.
Met Parachute
C’est notre référence en matière de casque à mentonnière amovible. Mais même lui fait sentir qu’un intégral light comme le Fox Proframe a un volume plus important et aéré. L’air circule bien sur le dessus du crâne, bien moins ailleurs. L’ouverture avant est très large, et la mentonnière plus en dessous de la mâchoire ce qui rappelle que sur le Proframe, elle est loin et devant la bouche.
Leatt MTB 4.0 Enduro
Si vous cherchez une gamme qui propose à la fois un Intégral light ET un casque à mentonnière amovible, voilà la marque qui tend à démontrer que c’est possible. La différence de format entre les deux est flagrante, le 4.0 profitant de sa liberté pour offrir un format et une ventilation proche du Fox Proframe.

Semi ?!
Sur le marché, les casques de ce format sont clairement les moins répandus. On les compte facilement sur les doigts de la main. Certains comme les Troy Lee Design D2 Open Face et Urge Real Jet ne sont plus produits. Et parfois encore, ce format hybride peine à trouver son utilité. Plus chaud qu’un jet, moins protecteur qu’un intégral, un compromis qui a pourtant du sens dans certains cas ou la sécurité bien dosée peut faire la différence.
Globalement, il couvre plus les tempes, les oreilles et l’arrière du crâne, même par rapport aux jet les plus couvrants. Il peut donc avoir son utilité quand les risques de basculement inopinés sont plus importants. On pense aux sessions dirt, park et pumptrack où un manual peut toujours mal tourner… On pourrait donc penser que c’est un phénomène de mode pour eux, mais la bande de potes du 50 to 01 en ont bien saisi l’intérêt par exemple !
À VTTAE aussi, bien choisir son casque VTT a du sens, et celui-ci en particulier. Non pas que l’effort soit moindre, ceux qui disent ça n’ont pas poussé le potentiel de la pratique à son paroxysme. Mais l’assistance nous pousse parfois à emprunter des chemins escarpés à la montée, et où le surpoids de l’engin peut nous embarquer. Dans les deux cas, il peut procurer le regain de confiance nécessaire avant d’envisager l’intégral si les risques de chute par l’avant sont plus nombreuses.
Le Fox Dropframe
Par rapport à un jet, le Fox Dropframe apporte son lot de maintien supplémentaire grâce aux pads qui entourent les oreilles. L’ouverture a beau être très importante à ce niveau, le Fox Dropframe les isole de l’air et donc, de la ventilation et de l’impression de vitesse qu’elles peuvent capter. Sur l’arrière, la sensation de couverture supplémentaire est bien perceptible lorsqu’on lève la tête. Masque ou lunettes, le Fox Dropframe fonctionne bien avec les deux. Un bon maintien au premier, un bon dégagement aux secondes. Dans son volume, il reste compact, à l’image de certains intégraux lights ou à mentonnière amovible évoqués plus haut.
La concurrence
Giro Tyrant
Face au Fox Dropframe, c’est le principal concurrent. En matière de style, deux tendances s’opposent. Tendues et dynamiques pour le Fox, rondes et détendues pour le Giro. Techniquement, le Fox tient très bien sans serrage occipital, grâce aux pads autour des oreilles. Le Giro y est plus ventilé, mais fait usage… d’un serrage avec lequel il faut manoeuvrer et rappelle que le Dropframe est plus pratique. de ce point de vue. Dernier détail et non des moindres, c’est ce casque qui fait remarquer que le Fox Dropframe ne dispose pas de visière amovible pour stocker le masque ! Autour du cou ou retourné sur la tête, obligatoirement…
Giro Switchblade
Décidément, Giro est la marque concurrente majeure sur ce segment, même si au départ, le Switchblade est un casque à mentonnière amovible. Le fait est que dans sa configuration minimale, il couvre toujours les oreilles et constitue donc un casque qui nous intérèsse ici. Lui renforce l’idée que le Fox Dropframe ne ventile pas autant que possible autour des oreilles. Alors que la coque du Switchblade recouvre cette partie, la forme des mousses laisse davantage l’air circuler autour de ces dernières. Mais en volume, le Switchblade reste un intégral auquel on a retiré la mentonnière là où le Fox Dropframe a un volume bien plus contenu autour de la tête.

Jet ?!
Sur le marché, les casques jets constituent la majeure partie de l’offre. On pourrait donc consacrer un maxi comparatif rien qu’à cette catégorie pour choisir son casque VTT, mais on ferait exploser le cadre de ce dossier. On y reviendra, mais ici on retient donc les références du moment. Ceux notamment, qui disposent de l’ensemble des fonctionnalités offertes par le Fox Speedframe : Mips, couvrant sur la nuque, compatible masque/lunettes, boucle magnétique. Quand on a l’intention de jouer avec les limites et les siennes en premier – quelles qu’elles soient – il faut véritablement que son casque sache se faire oublier. D’autant plus s’il s’agit d’un jet que l’on a justement choisi parce que plus léger et discret que les autres formats de ce dossier.
À l’usage, plusieurs points essentiels se recoupent d’un modèle à l’autre :
- La forme intérieure de la coque, plus ou moins creusée, qui donne différentes sensations de couverture du crâne ;
- Le maintien, lié au point précédent mais aussi au serrage, à la qualité des mousses, et à la forme/l’inertie du casque lors des mouvements de la tête, d’autant plus marquée avec un jet qui se positionne quoi qu’il arrive plus au dessus du crâne ;
- La ventilation qui régule l’effet de chaleur et se répartie différemment sur le front, le dessus et l’arrière du crâne ;
- Le confort, à savoir la qualité du toucher aux différents endroits, que l’on incombe principalement aux mousses, au serrage occipital et à la sangle
- Et enfin la compatibilité/la place accordée aux masques/lunettes, de plus en plus imposants de nos jours…
Le Speedframe
Comme le Proframe dans sa catégorie, mais plus récent que ce dernier, le Fox Speedframe est bon dans tous les domaines, sans pour autant exceller. Pour exemple, la forme intérieur de la coque, ni trop, ni pas assez creuse, typiquement dans la moyenne. Au niveau du front et sur le dessus du crâne, les aérations prennent bien l’air et font bien le travail. Ici aussi sans exceller d’un abus de douceur, le confort du Fox Speedframe est bon au point qu’il se fasse presque oublier. Dommage simplement qu’il fasse partie des casques qui bougent le plus sur la tête. Difficile de savoir si ça provient du Mips, des ancrages du serrage occipital ou de la forme de la coque, mais même très bien serré et à la bonne taille, on sent une petite inertie. Elle disparait si l’on porte un masque, mais est amplifiée quand ce dernier est stocké sous la visière. C’est elle aussi qui fait que le Fox Speedframe vient buter sur les lunettes les plus hautes, à très grands écrans comme c’est la tendance dernièrement : Oakley Suro, 100% S3, Poc Devour…
La concurrence
Bluegrass Rogue
L’air de rien, c’est le concurrent qui met en évidence qu’il peut y avoir mieux en matière de stabilité et de capacité à se faire oublier. C’est avec lui que la compatibilité avec les grandes lunettes, la forme intérieure et la stabilité même avec masque sous la visière du Fox Speedframe trouvent un concurrent sérieux. Le tout, sans débauche technologique, mais avec des solutions simples et efficaces, qui lui, le font vraiment oublier !
Bell Sixer
Même intention de ventilation au niveau du front, et même fonction d’ajustement de la position de la visière, mais avantage au Fox Speedframe sur ces deux points. Plus généreux sur le flux d’air, plus précis dans le maintien de la visière. C’est le serrage occipital et l’intégration du Mips qui sont par contre en faveur du Bell.
Troy Lee Design A3
En matière de style, clairement le concurrent direct, et pour cause. Avec cette dernière itération désormais capable de stocker un masque sous la visière, la rivalité est forte. Et ici, c’est celui qui met en exergue la forme du Fox Speedframe qui reste proéminente et assez haute sur l’arrière de la tête, alors que les derniers venus sur le marché tentent véritablement de descendre davantage sur la nuque sans pour autant devenir des semi…
Poc Kortal
Sorti en même temps que les Poc Devour très couvrantes, lui est forcément compatible avec les dernières lunettes du marché. Cependant la visière est moins facile à ajuster : il arrive souvent qu’on l’arrache complètement à la main. Ce qui sert habituellement à la sécurité. Il offre aussi une stabilité bien meilleure une fois sur la tête, qu’on peut prêter au Mips Integra, plus minimaliste, et moins mobile. Enfin, maintien et confort surclasse d’un poil le Fox.

Que retenir pour choisir son casque VTT ?!
Quoi 20 minutes de lecture ?! Faut vraiment que je lise tout ?! Si les encadrés et paragraphes clairement identifiés n’ont pas suffit pour trouver son bonheur, voici ce qu’il faut retenir de ce comparatif pour choisir son casque VTT parmi l’offre du moment…
- Il y a quatre types de casques VTT, du plus imposant au plus léger : intégral, light, semi et jet.
- Choisir entre l’un et l’autre consiste à placer le curseur protection/confiance/aisance au bon endroit. La mode ne fait pas tout !
- Pour aider à se situer on note tout de même que les intégraux sont légions et obligatoires en compétition Descente et Enduro (light) ; les jets sont plutôt répandus en Rando, Trail, All-Mountain, et Vélo de Montagne ; Les choix sont plus variés en Randuro, à l’entrainement, en navette, station et bike park même si globalement on tend davantage vers l’intégral (light) ou le semi, le jet quand on est très à l’aise.
- Chez Fox, la gamme n’est pas ultra large ou abondante, mais simple et coche les bonnes cases. Dans tous les cas, sans être parfaits, ces casques sont des valeurs sûres à chaque fois.
- Chez les intégraux lights, ça se joue à la ventilation que l’on veut. Chacun a vraiment sa propre répartition du flux d’air et donc son propre confort qu’il faut faire correspondre à ses propres attentes/besoins.
- Chez les semi, la sensation de protection est effectivement à mi-chemin entre jet et intégral. Le compromis est bon pour ceux qui ont tendance à jouer avec les limites sans forcément aller très vite…
- Chez les jets, la concurrence est rude, mais au final c’est sur la forme intérieure, le confort, la ventilation, le maintien et la compatibilité lunette/masque que ça doit se jouer.
- Sur 13 casques de ce dossier, 11 disposent du Mips, et tous font usage d’un dispositif pour réduire les forces rotationnelles à l’origine de lésion cérébrales en cas d’impact. Un must !
Et puisqu’on l’a écrit dès le début, le choix du format comme du modèle précis est propre à chacun, FullAttack est une fois de plus au rendez-vous en commentaires pour préciser, écouter et conseiller comment choisir son casque VTT. Et ce, même si certains des casques que ne sont pas explicitement dans ce dossier. N’hésitez pas à demander, on ne sait jamais : si on ne peut pas répondre directement, qui sait, que ça peut décider du/des prochains articles du genre 😉