Vélo de Descente vs Enduro, lequel choisir en station/Bike Park ?!

Nouvel épisode Entre 2 lignes, nouvelle question à laquelle on tente d’apporter de bons éléments de réponse, sur FullAttack. Cette fois-ci, LA question qui va bien : en station ou en Bike Park, est-ce qu’il vaut mieux rouler avec un vélo de Descente, ou d’Enduro ? ! Une question à 100 000 pour laquelle on apporte des précisions : celles qui font le lien entre la conception de chacun, et ce que ça donne en action !

* Cet épisode sur les vélos de Descente vs Enduro en station/park, fait plus largement partie d’Entre 2 lignes, une série de vidéos consacrées aux sujets en cours d’investigation, entre 2 runs, 2 séances d’essai ou 2 lignes d’article en train de s’écrire. L’ensemble des épisodes est à retrouver sur FullAttack, ici > https://fullattack.cc/rubrique/matos/entre-2-lignes/

Rédac'Chef Adjoint
  1. Salut,
    c’est sympa la comparaison car je me pose la question à chaque fois que j’arrive en bikepark.

    Mais tu oublies que la segmentation marketing enduro et DH inclus plein de niche avec des diamètre de roue différent genre les DH plus orienté fun comme les Tues(27.5) les FRS(27.5) Norco Shore(27.5) rose scrub(Mullet) etc… et les DH orienté race V10/supreme/Session etc….

    Que le segment enduro est super vaste et que y’a une nouveauté qui arrive qui sont les Downduro avec par exemple le Torque (Fourche double T 190mm et 180mm derrière en format mulet), mais dans une même marque tu peux avoir 2 ou 3 châssis « enduro » avec des débattements de 150 à 180mm.

    Presque faudrait comparer 3 vélos d’une même marque avec le même format de roue genre Bronson/nomad/V10 pour poser les limites de chacun suivant le profil du rideurs et du bikepark.

    1. Salut David,

      pour faire simple, le propos tenu ici considère un Enduro moderne comme défini dans la vidéo – donc 170mm, etc… – et un vélo de Descente en 200mm. Comme tu le dis toi-même, entre les deux, il y a des « niches ». Dit autrement, la tendance n’est pas clairement établie, chaque marque y va un poeu de son approche, non seulement dans le format des roues, mais aussi en matière de simple/double-té et de choix cinématiques. En plus de ce que tu indiques – qui est tout à fait valable – on peut aussi parler des Freeride/park autour de 180mm. Bref, à mon sens, c’est pas assez établi pour être catégorique. Ça se traite plus au cas par cas, pour cerner de quel bord s’inspire chacun, et de quelle manière ça se traduit sur le terrain. Tant mieux, quelque part, ça participe à la diversité de l’offre et à l’identité de chaque marque.Mai là, si je m’aventure enre les deux, c’est mort, on perd tout le monde avant la fin de la vidéo. À la place de ça, c’était bien de définir/comparer clairement les deux bords en question, les deux « extrêmes » quelque part. Parce que là, la différence est plus clair, et que par expérience (sur les 20 dernières années au moins) l’essence même de cette différence reste bien présente, et de manière assez constante. Ce qui fait que t’es presque garanti de retrouver ça et de t’en inspirer pour saisir le caractère de n’importe quel vélo, si tu monte sur l’un de ceux dont on a parlé dans ces commentaires.

      1. Sauf qu’au final ta vidéo ne s’adresse qu’à une niche car tout les autres le marketing les a déjà orientés sur des all-mountain voir trail full 29 ou des VTTAE(80%/90% de ce que je croise en bikepark).

          1. Chatel c’est très spécifique la clientèle comme le Lac blanc ou l’Evo Bikepark, les vélos sont souvent très spécifiques à de la Jump-line.

            Et Morzine ce sont des Anglais avec des chemises Hawaïennes sur des Hightower ou autres vélos à la mode du moment qui font des burps ratés dans tout les virages(de mon point de vue de cet été).

          2. Les commentaires ça a toujours tendance à manquer de nuance et de détails sur le ton utilisé. Du coup, difficile de dire si tu dis ça sérieusement – au quel cas tu généralise trop, ou tu tombes dans le cliché – ou si y’a de la dérision et de l’humour derrière le propos 😉

        1. Au contraire, c’est bien pour dire à tous ceux-là qu’il existe autre chose, que la vidéo existe. Le marketing peut bien dire ce qu’il veut, nous on est journalistes, c’est pas la même chose 😉

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