SUPERTROPHY 2025 – Toutes les subtilités de l’épreuve de Pumptrack !

Avec ce que l’on a déjà détaillé sur FullAttack, le SUPERTROPHY 2025 commence à se préciser. Mais il reste l’épreuve de Pumptrack à mieux expliquer pour que chacun saisisse à quel point on tient à ce que les épreuves puissent être un plaisir sur un seul et même vélo. Voyez plutôt…

Descente, Cross-Country, Maniabilité… on commence à avoir précisé pas mal de choses au sujet de la première édition du SUPERTROPHY, l’évènement multidiscipline du début de saison, organisé par les équipes de FullAttack. Pour autant, s’il reste encore un gros morceau à détailler parmi les épreuves au programme, c’est bien celle de Pumptrack ! Bien évidemment, on le sait, le terme est à la mode ces temps-ci. Les pistes goudronnées fleurissent un petit peu partout, pour le plus grand bonheur de ceux qui ont la possibilité d’en profiter…

L’idée, c’est bien entendu de vous permettre de faire l’ensemble de l’épreuve avec un seul et même vélo...

Reste que ces pumptracks en dur suggèrent bien souvent l’usage d’un semi-rigide pour en tirer pleinement parti. Résultat, le doute s’installe forcément dans les esprits quand on se dit qu’il y a une épreuve de Pumptrack au programme du SUPERTROPHY 2025. L’évènement ne nous pousse-t-il pas à faire le grand écart entre le vélo pour l’épreuve de Descente, et celle dont on parle ici ?! bien évidemment : non ! L’idée, c’est bien entendu de vous permettre de faire l’ensemble de l’épreuve avec un seul et même vélo. Raison pour laquelle l’épreuve de Pumptrack du SUPERTROPHY a quelques spécificités…

Tout d’abord, elle prend place au cœur de la clairière du bois Laville. Il s’agit du point central de l’évènement. À deux pas, se trouvent le paddock et le départ de certaines autres épreuves. Mais surtout, il s’agit d’un terrain naturel. Pour cette prestation, vous aurez donc les crampons dans la terre… du moins, lorsqu’il s’agit de rouler entre les modules en boisqui composent le parcours ! Les bosses et les virages proviennent ainsi de chez Animabike. Des modules qui nous permettent de composer avec le terrain. À savoir, la légère pente qu’offre l’espace dédié à l’épreuve de Pumptrack du SUPERTROPHY.

L’idée, c’est donc de composer un parcours de 15 à 20 secondes environ, en légère descente, qui permet de conserver un petit peu de vitesse, mais aussi et surtout, de profiter des modules pour en générer. Pour tout ça, deux règles au départ. La première : partir obligatoirement en haut de cassette, sur le rapport de vitesse le plus faible. La deuxième : ne pas changer de rapport de vitesse en cours de route. C’est l’élan, la pente, et surtout votre talent pour tirer parti des modules, qui doivent faire la différence. Et comme vous le voyez sur les images qui illustrent cet article : on a fait des essais grandeur nature avec des tout suspendus de différents débattements… Dans tous les cas, la vitesse est là, ça promet du spectacle !