L’Epic Enduro, En vrai ?! La course, sa prépa, son mode d’emploi, en vidéo !

L’Epic Enduro, vous connaissez ?! Vous avez pu suivre le retour de cette épreuve mythique sur FullAttack, il y a peu. Certains disent que c’est la course d’Enduro VTT la plus dure au monde ! Et on est plutôt d’accord avec ça ! Ça en fait à la fois fantasmer et trembler plus d’un parmi nous, n’est-ce pas ?! Eh bien l’Epic Enduro, c’est typiquement le genre d’expérience hors du commun, dont on saisit réellement toute la portée, une fois seulement, qu’on y est, et qu’on l’a fait ! Du coup, ça vaut bien un sujet complet, sur ce qu’est l’Epic Enduro, en vrai ! Une vidéo entre récit et mode d’emploi de la course. À quoi s’attendre ? Comment la préparer ? Les bonnes astuces ? Comment ça se déroule ?! L’Epic Enduro, en vrai ?! C’est sur FullAttack ! 

Rédac'Chef Adjoint
  1. Super vidéo ! Merci !
    Question: Un semi rigide avec une géométrie moderne, est-ce du suicide ou ça peut le faire ?

    1. Jean
      Difficile de répondre, j’en ai vu, très rarement , ils avaient un gros niveau et plutôt jeune, et arrivaient tres tres tres entamé a la fin.

    2. Salut Jean ! Merci 😉 Une année, j’ai vu des Fat bikes semi-rigide s’y attaquer, donc tout est possible. C’est ça qui est beau avec l’Epic : la difficulté est telle, qu’au bout du compte, chacun y va avec la solution sur laquelle il se sent le plus à l’aise. C’est sûr que Saint-Martin du Froid/Bardou, et le début des Crêtes, en semi-rigide, c’est déjà un beau challenge en soi. Alors s’y coller le jour de l’Epic, ça doit forcément être corsé ! Je ne vois pas comment ça peut ne pas tirer dans les pattes et dans les jambes à un moment… Mais je ne peux pas coller d’étiquette. Ça dépend forcément aussi de ton profil, de tes expériences, de tes qualités… Une chose est sûre : c’est chaud ! On ne va pas se mentir 😉

  2. Exceptionnel ! Pour l’avoir vécu je crois que tous les conseils de cette vidéo font mouche. Je me suis régalé, un grand bravo pour une telle précision ! Il y a même les tenues pour se changer entre chaque boucle. L’organisation/ bénévoles méritent aussi des éloges pour la qualité du travail, des vidéos, topos, plan d’entraînement proposés !
    Croyez en vous , vélo caroux va vous emmener très très loin, au delà de ce que vous imaginez…. mais le plaisir et les souvenirs qui resteront seront indélébiles.
    Merci à tous ceux qui rendent possible ce genre de journée complètement (inimaginable) folle 🙂
    NP

  3. Super vidéo, merci beaucoup, cela pourra aider une future préparation.
    Comme tu le dis, il y a vraiment un mélange de fantasme et de peur, rien q’à l’idée d’y participer.
    J’avais déjà lu plusieurs fois ton dossier Objectif Épic de 2017 (je le relis tous les ans par plaisir), mais c’était plus orienté préparation matériel.
    Penses-tu refaire un dossier plus précis sur tes choix d’équipement ou de composants ?

    1. Salut Guillaume ! Merci ! Waoh, excellent de savoir qu’il est encore lu, après toutes ces années. À l’époque, ce projet m’avait permi de m’installer dans mon rôle de testeur FullAttack Endurotribe. Raison pour laquelle c’était très orienté matériel. Mais justement, sept ans après, au moment de remettre ça, j’étais resté sur le sentiment d’avoir d’autres choses à partager, d’autres aspects de la course à évoquer. Comme si à l’époque, je n’avais évoqué q’un piliers sur les 5… Raison pour laquelle cette fois-ci, c’est tourné différement. Ça se complète. Je ne ferai pas d’autres parutions sur le choix matériel, si ce n’est que certains éléments à l’essai feront l’objet d’articles qui feront référence à l’Epic, le moment venu… Et puis si tu as des questions spécifiques, je peux y répondre ici 😉

      1. Je le trouve bien écrit et il m’avait vraiment vendu le Spectral à l’époque où je commencait le VTT(même si au final j’ai pris le modèle 2018). Le test du SB5.5C avait eu le même effet d’ailleurs, mais le budget pour concrétiser n’était pas le même. C’est deux articles que j’aime bien relire car ils décrivent vraiment ce que j’attend d’un VTT, mes goûts et c’est que je n’arrive pas à retrouver à 100% sur les vélos plus récents, mais c’est plus probablement dû à mon interprétation de l’article que des vélos eux-même.
        Pour revenir à l’Épic, je n’ai pas vraiment de question précise, si ce n’est que j’ai du mal à juger à quel point c’est difficile par rapport à mon niveau et mes expériences. J’aimerai bien m’y essayer avec pour objectif de finir la boucle 2 dans les temps.
        En ce qui concerne le matériel, est-ce qu’a posteriori tu penses avoir fait les meilleurs choix pour ta course ? ou aurais tu préférer d’autres composants (fourche, cadre, amortisseur, roue, freins, sac à dos) quitte à moins tester ce que tu voulais et te sentir plus à l’aise ?
        Reprendras tu le Meta pour le rallye TransVerdon ? Il doit aussi cocher toutes les cases pour cet évènement.

        1. Merci Guillaume ! Ces manière d’interprêter et de relire les articles ne sont pas forcément les plus courantes ou celles auxquelles je penses forcément le plus à l’écriture, mais je comprends tout à fait. Tu m’as donné envie de les relire, à l’occasion 😉 Ça m’arrive assez régulièrement de relire certains articles quand on me pose des questions à propos de produits que je n’ai pas utilisé depuis un moment, pour me rafraichir la mémoire, mais là, j’ai voulu éviter de relire « Objectif Epic » pour rester sur la fraicheur de cette nouvelle participation, 7 ans après.
          Pour ce qui est de la difficulté de l’Epic, peut-être peux-tu me dire à quelles courses as-tu déjà participé ? S’il y en a que je connais, peut-être que je pourrais me servir de ces références communes pour préciser un peu, et t’aider à trouver des repères…
          Pour ce qui est des choix de matériel, c’est justement intéressant de comparer les deux participations. J’ai souvenir qu’après coup, la première fois, j’étais partagé entre la satisfaction que le vélo se soit comporté comme prévu, et le fait qu’à l’époque, le 29 se développait, et j’avais fini par me dire, à force d’en tester par la suite, que ça pédale quand même mieux à la longue, et que c’est moins fatiguant sur les longs runs. Donc peut-être six mois ou un an après, je m’étais dit « si j’y retourne, ça sera avec un 29, et un peu plus de débattement. C’est ce que j’ai fait cette fois, et si je compare, l’expérience est concluante sur les sensations en spéciale. Moins de fatigue, pas de début de crampe ou de limite de tétanie, un rythme intéressant. J’ai vraiment aimé rouler en spéciale, hormis certains passages vraiment pentus. Je dois encore progresser dans ces passages là, en pédales plates. J’ai galéré sur des trucs que je sais passer correctement en pédales auto. Après coup aussi, je sais avoir fait deux erreurs : partir avec une veste dans la première boucle, par crainte de reprise de la pluie. J’ai eu trop chaud, j’aurai pas dû. Et je me questionne encore sur le choix des pneus. J’ai vraiment apprécié les pneus que j’avais choisi dans les premières spéciales mouillées… Mais au final, le temps s’est levé, et au globale, une paire plus roulante passait, et j’aurai peut-être dû avoir l’approche inverse.
          Pour le Grand Rallye, rien n’est encore décidé. J’ai plusieurs idées, dont une qui compte effectivement sur le Meta. Il s’y prête bien, et il pourrait être un bon support pour quelque chose de sympa en matière d’essais 😉

          1. Merci Antoine pour ces précisions.
            Pour les pneus, qu’aurais tu bien choisi de plus roulant ?
            Pour mon expérience, j’habite en Allemagne et j’ai commencé le VTT là. Je roule à 90% dans l’Harz, une petite chaîne de montagne avec le sommet à 1100m et la surface représente la moitié de celle des Vosges, donc vraiment petite montagne. Il y a qq bikeparks et d’une manière générale, les gens aiment dire que c’est du mini British Columbia, c’est beaucoup de terre souple, des racines, des gros gros rochers parfois. Bref, assez différent du sud de la France. En plus de cela, j’ai déjà été en Autriche (bikepark alpin)et en République Tchèque, qui ressemble à là où je roule mais avec plus de dénivelé.
            Je pense que le seul élement pour t’aider à comparer serait ma participation au Transverdon en 2020, c’est la seule fois où j’ai rouler en France de toute ma vie, et je reviens pour l’édition 2024. J’avais même prévu de discuter avec toi de ce sujet à cette occasion.
            C’est l’envie de voir d’autres terrains et de me challenger, aussi pour éviter la routine et l’ennui, qui me pousse à chercher des occasions dans le sud de la France, comme le Transverdon, l’Épic, le Roc d’Azur, Maxiavalanche… Mais lors du Transverdon, j’ai bien vu que c’était pas la même chose de rouler sur des pierres sèches qui bougent ou des racines mouillées et de la terre meuble.

          2. Pour les pneus, je sais que j’ai des Specialized Eliminator et Butcher à l’essai actuellement, et que l’Eliminator roule mieux. C’est avec lui que j’ai hésité, et je me dis qu’il aurait été intéressant, après coup. Tout comme je n’avais le Tacky Chan qu’en carcasse DH sous la main. En Super Gravity, je sais qu’il roule mieux 😉 Ce n’est qu’à titre d’exemple, avec ce que j’avais à dispo au moment de la course…
            Pour l’heure, rien n’est totalement arrêté, mais ma présence sur le Grand Rallye est possible. On en parlera plus volontiers si ça se concrétise 😉 En attendant, ta précédente participation est une bonne base. Dis-toi que globalement, l’Epic, c’est trois jours de Grand Rallye mis bout à bout ! Monter à Saint Martin du Froid, le sommet le plus haut, c’est un peu comme aller à la Baisse du Detroit – la longue montée en altitude faite à plusieurs reprises sur le Grand Rallye – en terme de longueur/dénivelé. Pour le terrain, L’Epic est au moins aussi rocailleux, mais c’est différent. Terrain et végétation moins alpins…

          3. Je ne connais pas bien la gamme pneu de Specialized, tu veux dire des pneux roulants type Schwalbe HansDampf ou Maxxis High Roller à l’arrière auraient fait l’affaire avec un bon choix de gomme et de carcasse ?
            Et à l’avant qq chose de plus polyvalent comme le MagicMary et le DHF/DHRII ?
            Je serai ravi de discuter plus avec toi de l’Épic si tu est là en juillet, c’est plus facile que d’écrire. mes craintes sont plus la restriction du temps en montée qui me metterai le couteau sou sla gorge et le niveau EWS/EDR des descentes, encore que je gère mieux ça avec la petite pression du chrono.

          4. Oui, c’est à ce type de pneu que je fais référence. Tu vois juste 😉 On en reparle volontiers cet été !

          5. Encore merci pour tes réponses.
            j’avais justement besoin d’un nouveau pneu ar pour le Transverdon, je crois que je vais me laisser tenter par le HansDampf avec la carcasse Gravity.
            J’espère te voir là-bas 😉

  4. Cette vidéo est magique ! Bravo! Technique et rapportée à ton vécu. Ca ouvre des réflexions! J’aime beaucoup cette idée de contextualiser géographiquement le secteur pour une première approche mentale. Ca a toute son importance.

    1. Merci Beaucoup ! Oui, pour moi en tout cas, c’est important. Et puis je trouve que ça colle à l’une des valeurs de l’Enduro. Une virée Enduro à la pédale, d’une manière ou d’une autre, c’est une occasion de découvrir un spot. Sa topographie, son terrain, ses chemins, sa communauté, son histoire, ces passages mythiques, ce qui fait que rouler là ça a du sens et de la valeur… Du coup, contextualiser géographiquement, ça a tout son sens ! Et puis au bout d’un moment, sur une telle distance, la routine peut s’installer. Avoir contextualisé avant, ça permet de refaire un point : « où » j’en suis ? « où » je suis ? Qu’est-ce qui m’attend ?! Quand tu t’attaque à la montée des éoliennes pour Saint Martin du froid, y’a 1000m de dénivelé et c’est pas une mince affaire. bien visualiser que ce pan de montagne, c’est pas juste une petite colline, mais ce sur quoi s’appuie/ce derrière quoi se cache toutes les causses, donc quelque part tout le centre de la France, bah ça aide à mesurer la teneur du truc. Ça donne une autre dimension 😉

  5. Bonjour
    Quand j’ai vu ton nom dans les inscrits je me suis dis sur il va rouler avec le nouveau ransom.
    C’est un scott donc du rendement (je sais c’est tout a fait subjectif, une idée reçue)pour une longue journée de vélo et sur le papier une cinématique et géométrie pour performer en spéciale (la aussi un a priori)

    1. Bonjour Fabrice ! Ahah, c’est excellent que tu évoques ça en commentaires : ça a failli se faire ! En fait, j’avais dressé une short-list à partir de deux critères : vélos qui ont de bons arguments vs l’Epic, et opportunités d’essai avérée au moment de l’Epic. Et le Ranson en faisait clairement partie, et pour les mêmes raisons que les tiennes. C’est juste que qu’ensuite, j’ai composé avec les disponibilités et compatibilités du moment, et que c’est avec le MEta V5 que ça a abouti, que toutes les étoiles se sont alignées, cette fois-ci 😉

  6. Super ! Le choix de pédales plates on peut avoir plus de détails sur ce choix vis à vis des autos ?

    1. Merci Romain ! En fait, jusqu’à l’été dernier, j’ai toujours, très majoritairement, roulé en pédales auto. Et puis, pour des raisons d’essai de pédales et de chaussures qui se sont présentés l’été dernier, j’ai commencé à rouler en pédales plates… J’ai notamment suivi Biivouac, sans prendre part au classement, mais en faisant les chronos, pour voir. Et c’était positif. Donc j’ai poursuivi l’expérience pendant l’hiver. Jusqu’à ce que je commence à préparer l’Epic, toujours en pédales plates. À un moment donné, je me suis dit que j’allais repasser en auto, pour la course. Mais à l’entrainement, sur de longues sorties, en pédales auto, j’avais des petites douleurs, des petites gènes plutôt, que je n’ai pas en pédales plates. Sans pour autant avoir l’impression d’y perdre beaucoup dans d’autres secteurs. je penses qu’en matière de rendement, il ya une petite perte. Tout comme j’ai constaté que dans certains passages techniques et très pentus, je ne suis pas encore aussi à l’aise en pédales plates qu’en auto, donc ça m’a un peu coûté. Mais pour moi, le tenter en plate, ça faisait parti du challenge que j’avais envie de me fixer 😉

  7. Jolie vidéo Antoine. Rien à jeter. Même après 6 éditions personnel, j’ai bu toutes tes paroles !! Toujours une analyse très fine de ta part. Très agréable. Nous avons discuter après l’arrivée dans la salle. J’étais avec Ludo de 7mesh !! Au plaisir de te revoir.

    1. Merci pour ce retour Carlos ! Je re-situe 😉 La discussion au sujet de la tenue 7Mesh qui fonctionne quel que soit le temps ! Très heureux que quelqu’un qui a plus de participations que moi valide le propos. Au plaisir !

  8. Salut Antoine! Beau reportage.
    La prochaine fois essaye de descendre les crêtes XXL sur le vélo!!! =P
    Le goulet était sec et propre!!! Ça roule tout seul! Braaaaaaaap!
    J’ai du attendre 30 seconde que tu descendes =D
    Le ride le plus bong de l’année et des souvenirs plein la tête.

    1. Salut Ced, ahah ! tient ben je viens justement d’écrire dans un autre commentaire, que je n’étais pas assez à l’aise dans la pente en pédales plates. J’ai encore des progrès à faire 😉 C’est dans ces moments-là que je me dis que je suis mieux en pédales auto. C’est déjà passé par le passé… Mais en même temps, j’étais sacrément fatigués, qui sait ?! je pense que quoi qu’il arrive, ça n’aurait pas été très beau…

  9. Salut Antoine,
    Top, merci pour cette vidéo qui est vraiment bien faite, bien pensée ! Je pense m’inscrire l’année prochaine et ta vidéo m’aide à y voir plus clair.
    Le défi s’annonce grand… 😀

    Juste une question concernant le vélo (minute 11), un Santa Cruz Hightower un peu bodybuildé (gros pneus, freins Shimano XT 4 pistons, peut-être passer la Fox36 en 160 au lieu de 150), vélo d’ailleurs utilisé par Glenn MacArthur semble idéal pour cette épreuve non ?

    1. Je te dirai que c’est nickel oui à titre personnel. Antoine ne précise pas s’il a mis des mousses mais vu le terrain, ça me semble assez indispensable aussi si tu veux rouler vite.

      1. Je n’ai pas mis de mousse, mais des pneus solides. Aux rythmes que je m’étais fixé et sur le style de pilotage que je voulais mettre en oeuvre, même sur la fatigue, je ne tapais pas les jantes à l’entrainement, donc j’ai fais cette économie. Pas de problème en course, donc le choix était bon pour moi. Après, justement, c’est à ça que doivent servir les entrainements. Valider ce genre de choix avant le jour-J 😉

    2. Salut Stéphane, oui, clairement, je penses que le Hightower fiat justement partie de ces vélos all mountain modernes, aux côtes d’Enduro d’il y a quelques temps, idéaux pour l’Epic. Le Compromis idéal. Après, forcément, ça peut aussi dépendre de ton profil, et de la stratégie que tu peux développer pour tenter d’atteindre l’objectif… Mais si tu cherche un bon point de départ, c’en est un 😉

  10. Je suis allé jeter un petit oeil au classement, je vois que tu as pas pu tout boucler, dommage !! défaillance physique, matérielle? en tout cas bravo pour avoir déjà claquer 9 spés !! sachant que tu as du tout remonter sans pouvoir faire les deux dernières en enfilade, sacré seum mon dieu…

    1. Pas tant le seum heureusement. J’ai eu plus de mal que prévu à boire/manger dans la première boucle. Tout bien jusqu’à la fin de la SP1, sans avoir eu l’impression ou les données d’avoir forcé. Puis coup de barre, coup de chaud/humide pour remonter à la SP2. Mis un peu de temps à retrouver un rythme ensuite. Puis mieux dans la deuxième boucle, mais le mal était un peu fait, obligé de forcer pour passer les portes horaires. j’ai payé ça dans la troisième boucle. Arrivé en haut de la SP9, je savais que je serai hors temps. J’aurais pu rentrer à vélo (sauter SP9, faire SP10 et 11 pour rentrer), mais ma famille m’attendais en bas de la SP9 que je connaissais moins que les deux autres. Donc je me suis fait un dernier plaisir, et je suis rentré en voiture, sans regret. Vis-à-vis du soleil, j’aurais pu remonter et boucler hors délais, je m’en sentai encore capable, mais sincèrement, j’avais mon compte, j’étais content de ma journée, et je ne tenais pas plus que ça aux 400 derniers mètres de positif. Aucun regret 😉

    1. Salut Arnaud, merci pour la précision. C’est ce qu’on m’a dit. Je le découvre. C’était pas la première fois que je venais dans le coin, mais ça ne m’a jamais interpellé. Pourtant, j’ai grandi dans un coin où on reconnaissait les autochrones à ceux qui savent qu’on dit « aussère » et pas AuXXerre », mais bon… Je comprends. Désolé 😉

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