Portfolio : 1ère édition du GHOST ALL MOUNTAIN CHALLENGE

Une formule plébiscitée

Texte et photos : Quentin Chevat

L’équipe WILDTRACK (dont je fais partie… ; à qui l’on doit notamment le redouté/redoutable SHIMANO EPIC ENDURO et l’aventure BiiVOUAC), a décidé d’innover une nouvelle fois en rassemblant cette fois-ci sur un même événement de type combiné VTT les amateurs d’Enduro et de XC. Le GHOST ALL MOUNTAIN CHALLENGE est né… Une épreuve à contre-courant des disciplines, vélos et pilotes de plus en plus spécialisés.

Le concept en tête, c’est naturellement (fort d’une bonne expérience commune sur BiiVOUAC) que l’équipe organisatrice s’est tournée vers les bénévoles du club CSO Millau pour coorganiser dans le cadre somptueux des Grands Causses (une valeur sûre…) cette grande première. Avec de telles ressources humaines et naturelles, un concept sympa et original, la fête s’annonçait prometteuse !

Retour sur cette première édition qui en appelle déjà d’autres…

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Vendredi 8 mai (férié) en journée, les coureurs viennent retirer leur « welcome pack » regorgeant de cadeaux partenaires (Buff et casquette Ghost, pack énergie et bidon High 5, guide VTOPO…) avant ou après les reconnaissances facultatives de deux des trois spéciales de l’Enduro (la SP1 étant secrète). L’épreuve se dispute à guichet fermé avec 360 inscrits au total

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Parmi toutes les plaques personnalisées au nom de chaque participant, on peut souligner la présence d’un sacré plateau : François Bailly-Maitre, Damien Oton, Théo Galy, Rémy Absalon, Florian Golay, Nadine Sapin, Alexis Chenevier, Jérémy Arnould, Lorraine Truong ou encore Yannick Sénéchal. Pas mal pour un week-end bien chargé en événements avec des manches de Coupe de France de XC et d’Enduro notamment. Ça ne va pas traîner sur les sentiers !

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Les « djeuns » du CSO Millau veillent au marquage de chaque vélo. Les coureurs doivent s’aligner sur l’Enduro et la Poursuite XC avec un seul et unique vélo (cadre, fourche, roues identiques)…

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La liste de départ est très hétéroclite avec une bonne partie des participants qui dispute pour la première fois un Enduro chronométré. Les montures aussi sont diverses dont pas mal de beaux montages qui laissent rêveurs…

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Samedi

Samedi 9 mai vers 8h, le « peloton » a rendez-vous à 20 minutes de Millau sur la commune du Rozier (48) pour le briefing et le départ du Rallye Enduro.

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Le ciel est grisonnant et la canicule annoncée est finalement repoussée à plus tard. Ce n’est pas plus mal pour encaisser le tour de 40 bornes et près de 1700 m de dénivelé positif au menu de cette première journée…

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Peu après 8h30, le briefing démarre…

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Les coureurs doivent s’élancer dans l’ordre des dossards sur la première et plus longue spéciale du jour, restée secrète…

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François Bailly-Maitre s’élance avec le numéro 1 au guidon de son BMC Speedfox (29 pouces, 130 mm)…

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Le Jurassien du team BMC et le Catalan Damien Oton (Devinci Alltricks) signent le meilleur temps égalité de la SP1 en 12 minutes 32s…

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Au guidon de son Genius 29 et sur un premier run physique, Rémy Absalon termine troisième en 12 minutes 46s…

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La SP1 rallie La Roque-Sainte-Marguerite depuis les hauteurs de Roquesaltes en passant par Montméjean

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En pleine préparation Transvé, Yannick Sénéchal entame la course en tête chez les plus de 40 ans..

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Pascal Domme, après le titre sur le SHIMANO EPIC ENDURO en avril dernier, vise la victoire dans la catégorie Masters 50…

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Chez les Dames, Lorraine Truong (BMC) attaque la journée en tête au guidon de son semi-rigide de XC. Alex Marchal et Nadine Sapin terminent respectivement deuxième et troisième de la SP1…

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A mi-parours, les coureurs traversent le joli hameau de Montméjean

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La SP1 ne se sera pas déroulée comme prévu pour tout le monde, certains ont cassé et d’autres ont jardiné…La sortie de piste d’un coureur dans les 40 premiers numéros a induit en erreur plusieurs dizaines de participants qui ont foncé tête dans le guidon hors du parcours. Certains ont perdu une poignée de seconde, d’autres ont persisté sans balisage sur plusieurs kilomètres.

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Après une bonne liaison pour remonter sur le causse, les coureurs s’attaquent à la spéciale dite de « La Côte St Jean »

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En bas, le ravito-déjeuner attendant les coureurs au Rozier.

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Comme chaque run, Greg Noce ouvre la piste pour s’assurer que le balisage est bien en place…

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Peu après midi, Damien Oton déboule à toute vitesse au guidon de son Atlas 29 et s’envole vers un second temps scratch…

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Alexis Chenevier a opté pour un Scott Spark 120 mm sans tige de selle télescopique ; pas forcément le plus aisé dans cette spéciale piégeuse… D’ailleurs le pneu avant s’en rappelle encore !

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Un joli belvédère s’offre aux coureurs à mi-parcours…

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1er Junior, Louis Jeandel n’est pas là pour acheter du terrain au guidon de son Mondraker Foxy carbone…

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Aux avant-postes féminins, ça roule fort ! Les trois premières pilotes terminent dans le Top 80. La Suissesse du team BMC creuse un peu plus l’écart sur ses poursuivantes dans cette seconde spéciale…

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Après quelques passages glissants sur lit de racines, le tracé devient ludique avec une succession de toboggans avec de belles courbes en terre…

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Toutes les bonnes choses ont une « faim »… C’est l’heure du casse-croûte !

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Les pilotes en profitent pour vérifier ou réparer leur monture. La journée n’est pas terminée !

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L’ultime spéciale de « Malbouche » propose un tracé hyper varié de 3,5 km mêlant relances, engagement et vitesse. Les recos de la veille portent leurs fruits et les pilotes en tête soignent les trajectoires…

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Dans cette SP3, François Bailly-Maitre termine en 7 minutes 53s et signe le meilleur chrono une seconde devant Damien Oton… Les écarts vont être serrés !

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Jérémy Arnould engage au guidon de son Meta Trail…

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Alexis Chenevier perd 55 secondes sur la tête de course sur cette dernière spéciale. Ca va compter pour dimanche…

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Flo Golay, double vainqueur du SHIMANO EPIC ENDURO, au guidon de son Speedfox…

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Florent Pelizzari et son Epic…

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« L’important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage »…

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La journée se termine sous le soleil et dans la bonne humeur malgré une épaule luxée dans la SP3 (bon rétablissement au coureur…). Il est l’heure maintenant de faire les comptes pour le départ en poursuite de demain.

En attendant les retardataires un peu tête en l’air (ou pas habitués tout simplement à la compétition…) qui doivent tous venir connecter leurs puces de chrono (le dernier arrivant à 22h…) pour établir le classement et les horaires de départ du XC, la direction de course travaille sur le coefficient multiplicateur pour rester équitable entre tous et entre les deux disciplines sans trop pénaliser les coureurs perdus dans la SP1 (qui pourraient hériter en l’état de plusieurs dizaines de minutes de retard, rendant le XC complètement « illisible »). La décision est finalement prise de compter les écarts de la SP1 sans coeff’ (il était hors de question de l’annuler, la majorité ne s’étant pas perdue) et de multiplier les écarts cumulés des SP2 et SP3 par six. On fait mouliner le tableur pour publier les résultats en ligne vers 23h…

 

Dimanche

De retour sur Millau en ce beau et chaud dimanche, les participants découvrent les résultats de la veille et les horaires de départ de la Poursuite XC…

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Vers 8h45, Greg démarre le briefing. Les coureurs devront rejoindre le sommet de l’Aire du Viaduc via une liaison VTT de 25 minutes pour ensuite entamer la mise en grille…

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Les premiers concurrents passent le contrôle technique et mettent leurs vélos en grille…

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Là-haut, l’ambiance est étonnante, les pros se mettent une pression « comme en cadets ». Ca rigole, ça chambre sur les choix vestimentaires et pneumatiques…

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Les 6 lignes commencent à se remplir dans l’ordre des résultats pondérés…

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Les Devinci boys contemplent les choix pneumatiques audacieux des pti copains…

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Les enduristes n’ont pas trop l’habitude des pneus XC bien étroits et gonflés à 2,5 bars, ça va drifter dans les premières courbes…

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Peu avant 10h30, Damien Oton fait rugir le moteur avec la poignée en coin ! Énorme…

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10h30, c’est parti !

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François Bailly-Maitre, gros moteur parmi les enduristes, s’élance 30 secondes derrière…

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Rémy Absalon a opté pour une monte light, et va le payer assez sévèrement dans la première partie descendante et piègeuse. Parti troisième, le Vosgien va être contraint à l’abandon après une double crevaison avant/arrière. Un sympathique papy lui dépannera une deuxième chambre pour lui permettre de rallier le paddock.

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Théo Galy tout sourire en mode XC avec son « gros » enduro…

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Alexis Chenevier part « placard » avec tout de même près de 10 minutes de retard ; il vise la gagne ou au moins le podium…

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Lorraine Truong s’envole vers la victoire en drift ! Sympas les pneus de XC…

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Passage complètement atypique du jour, les coureurs traversent la pile n°1 du Viaduc de Millau ! Pour info la pile n°2 juste à gauche culmine à 343 mètres (plus haute que la Tour Eiffel)…

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Passé le Viaduc, les pilotes prennent la direction de Peyre

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Pendant ce temps là, les départs se poursuivent…

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Le tracé passe deux fois près de Thérondels et permet aux coureurs de se ravitailler si besoin…

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Après un passage par Soulobres, la course prend la route de Millau et le Gymnase du Puits de Calès…

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Les pilotes ont l’air d’apprécier le parcours de 30 km et ses plus ou moins 1000 m de dénivelés !

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Peu après 11h56, le Jurassien François Bailly-Maitre franchi la ligne d’arrivée en tête et remporte le GHOST ALL MOUNTAIN CHALLENGE 2015.

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Damien Oton « la machine » a été plus qu’impressionnant sur le XC. Il termine second 54 secondes plus tard sous le regard admiratif et amusé de Bailly-Maitre… Il lui aura fallu plus de 30 minutes de course pour combler les 30 secondes de retard sur le Catalan.

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Alexis Chenevier, parti en 7ème position avec 9 minutes 50s de retard, est remonté finalement 3ème sans pouvoir (malheureusement pour lui, heureusement pour les autres…) revoir et jouer avec la tête de course…

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Jérémy Arnould a tout donné, il termine 4ème… Théo Galy complète le Top 5.

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A l’arrivée, l’ambiance est chaleureuse et les commentaires vont bon train. Les enduristes et les crosseurs se sont bien tirés la bourre et quasi tout le monde a la banane. Amateurs comme pros ont pris leur pied sur ce beau tracé XC.

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Lorraine Truong s’impose chez les Dames, Louis Jeandel remporte la catégorie Juniors, Yannick Sénéchal gagne chez les Masters 40 tandis que Pascal Domme s’adjuge le classement Masters 50…

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Julien Roussel s’adjuge la dernière place du classement général et repart avec une tenue Ghost…

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Pilote polyvalent par excellence, François Bailly-Maitre remporte cette belle première édition devant l’enduriste Damien Oton. Auteur d’une sacrée belle remontée et du meilleur temps dominical (1h22), Alexis Chenevier (habitué des XC et raids) monte sur la troisième marche du podium. Sacré début de saison pour le pilote Scott ! Pour découvrir tous les résultats, direction notre news post événement

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Le mot de la fin revient à Greg Noce (Directeur sportif) qui salue au passage l’énorme job de « Papic » du CSO Millau qui nous a déniché et peaufiné ces incroyables tracés…

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Le format AM Challenge est bien né et il pourrait bien faire des petits dans un avenir proche… A bientôt pour de nouvelles aventures !

Rédacteur en Chef
  1. Aaaaaaaaaaaaah que je suis beau étalé par terre avec mes lunettes de travers……ma femme est morte de rire…

    En tout cas, merci Quentin pour tes photos, en effet beau travail…

  2. C’était le top ! L’orga, le tarif, le format et le lieu ! Vivement la prochaine … Pour fin d’année ce serait idéal 🙂

  3. C’est peut-être dû au choix des photos publiées, mais j’ai l’impression qu’il y avait pas mal de 29″ parmi les têtes de série. Ça me fait dire que pour ma pratique perso qui se rapproche pas mal du mix enduro-XC, le 29″ se présente petit à petit comme une option de plus en plus envisageable.

  4. Superbes photos! Forcément un peu déçu de ne pas s’y voir, mais merci. Un photographe pro aurait du profiter de l’événement pour vendre des clichés.

    Et est-ce que le coureur ayant fait la plus grosse remontée (en terme de places) le dimanche a été félicité au podium? Je dis ça parce que c’était moi 😀 105 VTT doublés en 30 km, c’était assez grisant (mais ça prend du temps). Bon, vu comme je suis minable en enduro, j’avais saisi cette opportunité.

  5. Vous avez bien réagi apres l’erreur de balisage sur la sp1. Ça me fait bien marrer de visionner ma vidéo de 10 mn , perdu dans la nature avec d’autres gars….

  6. On sait maintenant pourquoi on a aucune photo sur la coupe. Les photographes étaient tous à la Ghost.
    Bravo à tous. Une belle course apparemment…

  7. Erreur de balisage, ouais… On pourra toujours polémiquer sur le sujet…
    En pourcentage, seule une minorité s’est plantée; aucun dans les premiers. C’est la preuve qu’il n’y avait pas « d’erreur ».
    Une des facettes et l’intérêt d’une spéciale « à vue » est justement d’être bien plus attentif à ce qu’il arrive devant, et à analyser tout ça. Certains n’ont pas été bons à ce jeu là, et ce sont fait avoir.
    Et malheureusement, cette minorité a été entendue, annulant toute la valeur de cette spé avec « roulage à vue », pénalisant ceux qui ont été plus malins, si on peut dire ça comme ça…

  8. Oui, et heureusement. Mais cela a ôté toute sa valeur sportive, et la modif du coeff a certainement pénalisé ceux étant plus à l’aise en pilotage à l’impro par rapport à ceux qui le sont plus en limant 15 fois les spé…

    Bon malgré ce seul petit point « négatif », tout le reste était franchement top.

    Ce qui me dérange, ce sont ceux qui ont tendance à (ou à avoir) critiquer l’orga sur ce sujet de balisage, alors qu’il n’y a pas grand chose à dire. Si plus de la moitié du plateau se fait piéger, OK, il y a un pb; mais là non.

  9. Quel est l’intérêt pour certain de limer les spéciales la veille en camion ? Le jour de la course de ne pas prendre les liaisons en monotrace mais la route ?

  10. @Jony: complètement d’accord avec toi.
    Cette spéciale n°1 était un vrai parcours de all mountain à vue, peut être pour moi le tracé le plus représentatif du concept (plus qu’une boucle XC ou des spés sur-limées), et c’est dommage de l’avoir mis au rabais.
    Il faut que Wildtrack ait confiance en ses qualités et surtout en son autorité. Il n’y avait pas à plier l’échine face à des plaintes minoritaires. Et si ce choix faisait ensuite jurisprudence? Le risque est pris et les plaintes seront encore plus fortes la prochaine fois. Car des gens qui se perdent, c’est un peu une caractéristique de notre sport (hors DH), cela arrivera toujours en pleine nature.

    Alors à l’organisation: vous êtes géniaux avec énorme savoir faire, et ce ne sont pas quelques critiques gratuites au sang chaud qui doivent vous influencer. Merci pour le GAMC!!

  11. 100% en accord avec Jony et Herr Mann . Vous auriez du être intransigeant car vous n’aviez pas d’erreur sur votre tracé , il suffisait de lever les yeux.

  12. bon arrêtons de parler de cettte SP1, si vous allez par là il aurait mieux valu prendre les 2 meilleures Sp de chacun (moi cela m’aurait arrangé..hihihih), enfin bref. Cétait une première et je ne voyais pas l’intérêt d’être aussi intransigeant comme tu le dis JLCO.L année prochaine sera tout autre chose , je leur fais confiance..

  13. pour la sp1 moi je ne me suis pas tromper et pourtant je suis borgne et mon seul oeil et bien fatiguer !!!!! lol
    comme quoi.

    BRAVO A TOUTE L’EQUIPE POUR CETTE BELLE ÉPREUVE

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