Un Objectif Epic – Chapitre 1 : essais particuliers…

Bienvenue dans Un objectif Epic… Une rubrique particulière, à plus d’un titre. Nombres d’entre nous l’ont remarqué : depuis plus d’un an maintenant, les essais Endurotribe ont pris une dimension singulière dans nos publications.

Néanmoins, nous n’avions pas, jusqu’à présent, véritablement pris le temps d’exposer certaines de nos motivations… Pourquoi un produit à l’essai, plutôt qu’un autre ? Quelle est la conception que l’on peut avoir de notre pratique pour aboutir à certaines conclusions ?

Il était temps, après une année de mise en oeuvre, d’aller un peu plus loin dans le sens et le partage. Dans la définition d’une certaine vision des choses. Nous y voilà. Il est temps de vous en dire plus sur ce fameux Objectif Epic…

 


Temps de lecture estimé : 5 minutes


 

 

et-un-objectif-epic-chapitre-1-8Le cadre…

À l’occasion, la Rédaction Endurotribe se défini comme un média de la presse spécialisée promoteur du VTT All Mountain et Enduro. Comprenons par là que pour chacun de nos contributeurs, s’adresser aux lecteurs du magazine n’a de sens que s’il permet de trouver toujours plus d’aisance et d’expérience dans la pratique.

En matière d’essai, la tâche est particulière puisqu’elle consiste en un sens à faire le lien entre pratiquant et produits… Conçus et commercialisés par les marques du marché. Une posture aussi gratifiante que lourde de responsabilité… Au carrefour des idées, des courants et des pensées pas toujours facile à relier.

 

 

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Un éclairage…

En cette période de clivage important au sein de notre société, la tâche est parfois ardue. Faire le lien pour que chacun y trouve son compte n’est pas forcément aisé. Entre commentaires des lecteurs d’un côté et sollicitations des marques de l’autre, certaines corrélations apparaissent parfois comme des évidences.

« Un risque calculé qui ne porte ses fruits que si chaque parti fait preuve de pertinence… »

Reste qu’à d’autres moments, la corrélation est moins évidente. Du moins, si l’on ne fait pas preuve d’engagement. Alors, il nous advient, à la Rédaction, de prendre les devants. Insuffler une certaine logique, une certaine dynamique à notre activité. Apporter un éclairage. Faire entendre une troisième voie.

Celle que cette rubrique entend porter prend son sens sur un engagement particulier : consacrer une partie du temps passé à satisfaire la communauté Endurotribe, dans un défi aussi relevé que gratifiant. Un risque un peu fou mais calculé, qui ne peut porter ses fruits qu’à une seule condition : que chaque parti fasse preuve de pertinence…

 

 

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Le point de basculement…

Quel sens concret donner à ces essais particuliers ?! À y regarder de plus près, il y a bien comme une évidence qui peut parler à tous. Du côté du Caroux, un jour d’avril. Ce défi un peu fou que certains d’entre nous osent se lancer. Les 3 boucles du désormais mythique Radon Epic Enduro..!

« Qui peut le plus, peut le moins ?! »

Les quelques 800 participants de l’épreuve sont lecteurs, parfois très assidus, du magazine. Comment ne pas partager cette journée avec eux ?! J’ai déjà hâte d’y être, quelque part autour de 4h du matin, et plus tard, le plus tard possible, pour donner plus de poids encore aux commentaires déjà constructifs que l’on échange habituellement.

Pour nous tous, lecteurs, rédacteurs et marques, participer et – souhaitons le !boucler l’épreuve a son sens. Du moins, se prêter au jeu, et au défi, est un très bon prétexte. Un bonne raison de structurer l’activité et d’orienter une partie des essais Endurotribe vers une pratique que nombre d’entre nous partagent. Qui peut le plus, peut le moins…

 

 

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Qui sera sous les feux ?!

C’est pourquoi, d’aujourd’hui au printemps prochain, toute une série de publications aura du lien. D’une certaine manière, c’est déjà un peu le cas. Sans se le dire, les prestations des bandes Huck Norris, des Specialized 2FO Cliplite Lace, des Mavic Deemax Pro, du SixSixOne Evo AM et de la veste Alpinestars Descender 2 sont déjà passée au tamis : ces produits seront-ils susceptibles de m’accompagner le jour J ?!

Nous aurons l’occasion d’en reparler. Mais ce n’est là qu’une petite partie de ce qui nous attend. Pourquoi ?! Notamment parce qu’une question essentielle brûle l’esprit dès que l’on s’imagine participer à l’Epic… Sur quelle monture vais-je tenter d’être au mieux de ma forme et profiter de cette expérience exceptionnelle ?!

Certainement pas le premier vélo venu… Ou le vélo d’essai dispo le moment venu. Ce serait gâcher de ne pas mieux se préparer. Il y a mieux à faire… Monter un vélo pour l’Epic notamment ! De ces montures où chaque composant est soigneusement répertorié pour ce qu’il est susceptible d’apporter le moment venu… Et pour sa concordance avec les performances de son voisin.

 

 

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La suite ?!

J’y reviendrai vite, en promettant de rester raisonnable et raisonné. Mais maintenant que le décor est planté, les quelques images sombres et intrigantes qui illustrent ce premier chapitre commencent à prendre du sens. Un cadre, rigoureusement choisi, attend patiemment son heure.

Les composants qui doivent l’accompagner arrivent petit à petit. Certains font déjà l’objet d’essais préliminaires pour savoir si, oui ou non, ils auront leur cartes à jouer. Expliquer les choix, les raisons et les apports constitue la suite de cette chronique.

Elle doit faire le lien entre les différents verdicts d’essai susceptibles d’être publiés. Des essais qui commencent par un pari un peu fou. Il n’a rien d’anodin, mais il mérite bien quelques explications concrètes pour prendre tout son sens. Le Pari… Titre du chapitre 2 d’Un Objectif Epic, à suivre sur Endurotribe 😉

A très vite, Antoine

Rédac'Chef Adjoint
  1. la monture, oui mais pas que! La préparation du pilote est à soigner car pour avoir roulé l’édition épic 2016 et n’avoir décroché que l’épic d’argent, je sais que l’engagement physique n’est pas à prendre à la légère. c’est long, c’est physique et la météo peut être votre ennemi. L’expérience me fait donner le conseil de bien prendre en compte, la longue montée de la liaison 4, environ 1H50, et de privilégier un pneu arrière mixte et non typé enduro pur. Je vais te suivre avec attention et comparer tes choix et ta préparation avec la mienne. Bonne idée que de vivre de l’intérieur avant pendant et après. merci Antoine.
    Cela servira à ceux qui hésitent.

  2. La réponse est donnée dans l’article.
    ‘Suffit de bien observer la photo entre les chapitres « Le cadre… » et « Un éclairage… » 🙂

    1. @tous > Canyon Spectral CF, bien vu 😉 On en reparle sous peu, mais les nombreux commentaires récurrents à son sujet font partie des principales raisons du choix.

      @startrek, merci du point de vue. Même si je veillerai à ne pas trop m’écarter du sujet de la rubrique, qui est d’apporter un éclairage sur les choix matériels, faire le lien avec la préparation du pilote a effectivement tout son sens 😉 à très vite

  3. Cool Antoine, on va faire des bouts de chemin ensemble ce jour le plus long!
    ça va me faire plaisir de raconter des conneries avec toi, ça fait trop longtemps.

    1. @Meunier Laurent > révise tes classiques, je veux du grand Meunier ce jour là ! Double clé de 5 et tout le tralala 😉

  4. Perso pour ma 1ere participation je laisse mon enduro de race au garage et tenterai de boucler les 3 boucle avec un stumpjumper carbon 6fattie car question pédalage on frôle la perfection et le format 27.5+ donne un avantage certain question confort! Comme mon but est avant tout d’être finisher que de faire tomber les chronos, je penses et j’espère avoir fait le bon choix.

  5. @ antoinne, c’est cocasse quand meme, après tous ces vélos testés durant l’année ecoulé, au final tu pars avec le meme modèles que tu roulais l’année derniere non ?

    1. @Guillaume > j’ai l’impression que l’idée traverse l’esprit de pas mal d’entre nous 😉

      @charly > oui. J’expliquerai tout ça très vite, ça paraitra moins cocasse 😉

  6. @Togne: je vais axé toute ma préparation pour te soutenir le moral au cours de la journée: je resterai avec toi toute la journée!

    1. @Meunier Laurent > copaaaaaiiiiiinnnnn ! tu prends combien pour faire porteur d’eau ?! ahah 😉

      @toff46 > un article quand ça s’impose. En l’occurence, la suite rapidement. Je n’ai en tout cas pas l’intention de faire poireauter inutilement 😉

  7. A très vite, ça c’est sûr , suis très curieux, tu nous prépares un article tous les 15 jours pour suivre cette évolution j ‘espère….pas tous les mois 😉 😉 😉

  8. Pauvre Togne: même avec ton salaire à presque 6 chiffres d’ET tu ne pourra pas te payer les services d’une assistance de qualité comme moi!!! HAHAHHAHA. En tout cas on va rigoler et ça c’est bon!

  9. Cette course ai magique du depart a 4h avec c lampe en passent par les paysages superbe et c speciale qui te secoue dans tous les sens je te souhaite de prendre autant de plaisir a le finir que moi !!!!

  10. pas mal le principe.
    faudra apporter un soin tout particulier aux comptes rendus après course, pour voir quelle pièce a tenu ses promesses, s est révélée etre au top, ou pas du tout, etc

    1. @raz’ > c’est le principe, mais dans la mesure du possible, je fais en sorte d’avoir validé un maximum d’élément avant. Histoire de réserver le Jour-J aux imprévus exceptionnels que seul le dépassement de soit d’une telle épreuve peut mettre en évidence 😉 Pour l’instant, plusieurs freins sont en lice.

  11. Tiens tu as fais le choix d’un 27’5 sur une épreuve aussi longue.
    Je m’étais dis que tu choisirai un 29 pour privilégier le confort et ainsi garder des forces.
    Mais apparemment tu as misé sur un vélo léger, avec un bon rendement et vif (je ne sais pas si cela correspond vraiment aux caractéristiques du spectral) idéal pour les liaisons mais qui risque aussi de pas mal « tabasser » dans le cassant et donc engendrer de la fatigue.
    De toute manière tout est est question de compromis…

    1. @fab > ta remarque conforte justement le contenu du chapitre ! Le temps pour moi de le rédigé, et tu auras la réponse à ta question 😉 merci !

  12. J’y étais en 2016 en 27.5 cadre carbone.
    Sur les liaisons pas de soucis, on monte sans se stresser les liasons en évaluant à peu près les portes horaires.
    Reste l’essentiel : les descentes usantes de la B2 et de la B3 !
    Cette année ce sera en 27.5’+ mais avec la crainte des crevaisons ou en 29′

    1. @stefnice > J’ai quelques bonnes choses en stock pour aborder les SP des B2 et B3. Malheureusement pour moi aujourd’hui encore : séance d’essai sur vélos équipés de pneus+ dans les cailloux du quart Sud-Est et même issue que d’habitude : crevaison en spéciale. Pour une pratique Enduro avec un minimum d’engagement, je n’ai pas encore trouvé… mais je continue à chercher 😉

  13. Merci pour ton article Antoine.

    Ma prep physique (surtout son absence) ne ne permet pas pour l’instant d’envisager ce type d’évènement, mais j’ai hâte de voir quelle monture tu vas préparer, ça me permettra de post rationaliser mon achat (niveau cadre en tout cas).

    Pour ma part, en partant d’un montage CF9 2016, un passage au monarch RCT3 avec 4 spacers, un changement de shaft pour passer la pike en 160mm avec 4 tokens, un jeu de direction WorkComponents angleset pour coucher l’angle d’1,5° supplémentaires et l’installation d’une gaîne directe du shifter au dérailleur ont fait passer la bête d’un allmountain vif en une bête sauvage de 12,5kg pédales plates comprises qui descend et grimpe mieux que mon Strive CF de l’année dernière.

    PS : il ne reste que mes moyeux de crossmax qui m’emm**dent 😉

    1. @B. & pierre > vos propos rejoignent des questions qui m’ont déjà été posée à propos de l’usage de 160mm devant. La fourche que je monte me permet facilement de balayer de 140 à 160mm. Ça peut faire partie de certaines expérimentations même si pour l’heure, je n’ai pas ressenti le besoin sur le Spectral AL que je roule régulièrement depuis début 2015.

  14. @Ksiop @Antoine : les 160mm avec une grosse progressivité me permettent d’avoir un SAG plus important, et donc plus de confort sans trop toucher à la garde au sol du cintre, malgré l’angleset qui réhausse de 17mm le cintre et la pike de 10mm par rapport à l’origine. En mettant un cintre avec un rise de 10mm et en passant la potence de +6° à -6° on arrive à ne pas trop en pâtir.

    En ce qui me concerne, 65° ou 64,5° devant n’apportent que du positif par rapport aux 67° d’origine.

    Le vrai problème vient plus de l’effet que ces +27mm de stack (10mm pour la pike, 17mm pour le JDD WorksComponents) ont sur l’angle du tube de selle, qui devient pour le coup un peu « couché » et qui peut amener l’avant à être un peu délesté parfois. Du coup je compense en avançant un peu la selle et vu que je suis dans la limite basse pour ma taille de cadre (1m70 pour 430mm de reach en taille M) tout rentre dans l’odre : j’ai un vélo bas, ouvert au niveau de l’angle de direction, confortable mais vif.

    Vu que mon délire à moi c’est d’arriver en haut sans faire de crise cardiaque et passer le moins de temps possible avec le plus gros smile possible à rejoindre le bas de la pente, ces ajustements me conviennent parfaitement 🙂

    1. @B. & @Ksiop > Assez radical comme configuration 😉 Je roule effectivement le Spectral AL avec Pike en 150mm. C’est une des principales caractéristiques des modèles EX de la gamme. 2 à 3 token dedans, en fonction des terrains et du programme.

  15. ah ah la SEE euh pardon la REE 🙂

    On a eut la même démarche 🙂

    d’abord le physique, travailler, travailler, travailler et gestion sérieuse du trio repos/diététique/sommeil 🙂

    le vélo … après pas mal d’essai, entre l’arme en D- (le Spé enduro 29 2015 mais qui pédale bien) et des pédaleurs, Camber 29 2016 et autres Giant 27,5 ou LP Zesty 27,5 …. je me m’émerveille sur le Stump Comp Carbone 29 2016 … mais on le tune : on ouvre l’avant avec une PIKE 160mm on passe aux pièces fiables mais polyvalentes : mono 28 et sunrace 11-42, freins shim XT785 plaquettes ventilées, DT 1501 XM, et du pneus Grid 2,3 (butcher/purgatory) ….

    La seule chose que j’aurai changé … un Hillbilly ou un Magic mary devant pour chipoter ou un chère mais légère cassette sram 10-42 (mieux tuné en 10-44 pour passer un 30 devant) 🙂

    voila , de la nourriture déjà testée le jour J, des freingues confortable et adapté… engage !!!!

    Bon je résume, mais me suis régalé … l’Épic reste un super bon souvenir 🙂

    essayez, c’est Magique : beau, eniiiivrant, tracé exceptionnnnnel, ambiance, sensations 🙂

    j’ai hate d’en lire plus sur la démarche, le sentiment au fil des mois, et le jour J !!!

  16. mieux vaut 150mm bien optimisés que plus 160 avec 64,4 ° d’head angle…je suis pas sur que la cinematique du spectral fonctionne au top avec de telles valeurs, il est pas prévu pour etre aussi radical…

  17. @Antoine : I love it! 🙂

    @Charly : Les 10mm de débattement supplémentaires sont absorbés en SAG pour plus de confort et un meilleur grip en conservant une progressivité énorme en fin de course avec les 4 tokens n’ont aucun effet sur la géométrie par rapport aux 150mm d’origine, et crois moi le setup de la fourche est bon 😉
    Les +17mm de stack ne font évoluer la géométrie du triangle avant que d’1°. Cette évolution a un effet négligeable sur la géométrie et la cinématique. Du coup qu’est-ce qui te fait penser que la cinématique du spectral soit affectée ? Un pneu mal gonflé ou un plateau trop petit auraient bien plus d’effet sur l’anti-squat ou la garde au sol que cette micro modification (sauf en montée ou l’avant est un peu délesté, c’est vrai).

    L’histoire nous montre que la plupart des adaptations faites par les top pilotes à leurs montures préfigurent les évolutions de série de demain (en vélo comme ailleurs). Si on observe ce que font les top pilotes EWS (dont je n’ai pas le tiers moitié du niveau, ni techniquement ni physiquement soyons très clair), alors on peut parier en regardant les adaptations qu’ils apportent au Strive (+20mm de débattement par rapport au modèle de série pour Barnes, +10mm & un angleset pour Leov) alors on tombe sur les valeurs dont on parle ici, autour de 64-65° (source : http://www.pinkbike.com/news/strive-vs-strive-ews-bike-setup-with-justin-leov-and-joe-barnes.html). Naturellement, ils cherchent aussi à gagner en capacité d’absorption quand ça tabasse, et en hauteur de cintre quand c’est trop vertical. Idem du côté de Richie Rude (Fox 36 170 au lieu de 160mm de série pour le Yeti SB6c) ou pour Vouilloz et Dailly avec 180mm au lieu de 160 de série (dans les commentaires ici : https://www.facebook.com/adrien.dailly.86/photos/a.1519111195005020.1073741832.1430270470555760/1689372564645548/?type=3&theater).

    D’autres marques (plus motrices encore dans l’évolution des géométries « Long Low Slack » comme Nicolaï, Mondraker ou Pole (avec leur Evolink) poussent plus loin encore les limites avec des HA à 63-64° (pour des trailbikes en 27,5″), et aucun testeur n’a encore mis en défaut une telle évolution dès lors que les autres valeurs de la géométrie et que les aptitudes techniques du pilote suivent (capacité à jouer du nose turn dans les virages en épingle par exemple). Si on associe ça avec l’évolution automobile par exemple, on constate qu’un pneu de citadine est aujourd’hui plus large qu’un pneu de F1 dans les années 1950.

    On peut bien sûr arguer que le champion du monde EWS roule avec un HA de 65-66° qui n’a rien de fou, mais ça ne fait que démontrer plus encore que le talent du pilote à 100x plus d’effet sur ses performances ou le niveau de fun qu’on peut trouver en ridant que quelques degrés de géométrie.

    Ceci dit, le mouvement général, celui de l’évolution des géométries suit bien cette tendance de fond, et je suis certain que les montures qui sortiront d’ici à 24-36 mois feront de ces valeurs perçues aujourd’hui comme un peu extrêmes des standards. Wait & See 🙂

  18. @Antoine : tu as pu tester le CF aussi ? Je me demande si je n’aurais pas mieux fait de prendre un AL à configuration équivalente, notamment pour des raisons de tranquillité d’esprit (pouvoir me marbrer tranquillement dans des pierriers ou poser le vélo sur une remorque, une remontée ou un porte vélo sans transpirer abondamment de peur que le carbone ne prenne cher), mais aussi car je trouve le CF extrêmement rigide (presque trop) et du coup un peu fatiguant et peu tolérant à rouler sur de longues sorties. L’AL est-il plus indulgent sans être un spaghetti pour autant ?

    1. @B. > CF en cours de montage. AL roulé jusqu’à présent… Avec quelques beaux pocs sous le tube oblique, mais qui n’ont en rien entamé ni mon enthousiasme, ni les performances du vélo 😉

  19. @Antoine : c’est ce que j’avais cru comprendre, hâte de voir ton setup! ce serait cool si tu pouvais partager ton ressenti sur les qualités dynamiques du cadre à titre de comparaison avec l’AL que tu as roulé jusqu’à présent dans un article !
    Et tes pocs sous le tube diagonal, c’est exactement ce qui me manque avec le CF. Après coup, le stress des dommages sur le carbone ne semble pas valoir pas les 500/1000€ dépensés supplémentaires et les 500 grammes de gagnés hors hardcore race si bien sûr les qualités dynamiques sont conservées. Je garde ça en tête pour mon prochain vélo 😉
    Carbon is cool, peace of mind is better ????

  20. @Antoine : FYI le « ???? » à la fin de mon commentaire précédent était avant soumission un emoji de main faisant le signe « OK ». Ça explique peut être pourquoi on voit parfois ces « ???? » dans les commentaires qui nous font passer pour des crétins illettrés après publication 🙂

  21. Oui tres gros probleme du 27.5+ : la crevaison à l’arriere. Seul remede que j’ai trouve pour l’instant : rouler avec une chambre et etre à 2 bars. Moins d’effet + du coup, mais ca roule qd meme plus vite qu’en 27.5-.

  22. @antoine pour les pneus plus je teste actuellement les nouveaux minion et 2.8 en exo Kevlard à lav ras par contre à l’ar le dhr à trop de grip j’ai repasser un rekon+ en 2.8 il fait moins de 900g et il est super roulant et question carcasse c’est du béton aucune crevaison déplorer avec 1kg à lav et 950g à lav se sera donc ma monte pour lepic « dhf à lav et rekon à lar « 

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